Année 2021
Comptes-rendus des activités de l’année 2021
Sortie escalade aux Gastlosen du dimanche 10 octobre.
Jolie sortie ce dimanche de grisaille dans le Chablais. Georges R. à répondu présent à l’appel, pour aller à l’assaut de la Wandflue via « Toto le héros », une voie ouverte il y a 27 ans et rééquipée l’année passée. Ce n’est pas vraiment la voie directe pour monter à la Wandflue vers laquelle serpente un joli sentier que nous emprunterons à la descente, mais nous ne sommes pas là pour marcher !
Très jolie voie de ce calcaire des Gastlosen que l’on aime tant … ou pas trop pour ceux qui n’aiment pas les « petits » pas de dalles, les cannelures et autres spécialités locales. Nous nous sommes régalés, la voie possède toutes les spécialités du calcaire, dalles, canelures, donc, mais aussi trous, joli arrête, picos, et un petit peu de dévers, à peine un peu pour le dévers. Une voie de 250m, 8 longueurs, pas trop physique, assez homogène dans un 6a avec 2 longueurs un peu plus délicates dont la première qui est la plus fine en 6b.
Petite marche d’approche de moins d’une demi-heure, vue sur les alpes bernoises et valaisannes saupoudrées d’un peu de blanc, ambiance de rêve ! Juste un petit vent pour nous rafraichir qui nous a forcé à sortir la veste pour terminer la voie.
Un grand merci à Georges pour avoir accepté de faire cette voie que j’avais en tête depuis ma première visite aux Gastlosen il y a plus de 20 ans...
Très belle sortie pour clore cette saison 2021 ! Merci à tous les coordinateurs et participants de la saison et à bientôt !
Frédéric
Samedi 25 septembre: Sortie VTT Code-Mayentzet.
La météo se présente bien et nous avons rendez-vous au parking des Aunaires à 8h. Bruno, Sylvie, Frédéric, Georges Aebi et Gérard se répartissent dans les voitures. Pas toujours facile avec les vélos.
Direction Erde où je les attends au parking du terrain de foot. Seul parking du village avec une durée de stationnement de 3h. Tous les autres c’est 2h. Il va falloir mettre les gaz pour notre sortie.
Nous partons par une petite route à travers les vignes en direction de Aven. Depuis les hauts du village, nous parcourrons sur un joli petit sentier à plat jusqu’au lieu-dit : Som des Ceyves. Depuis là, nous attaquons notre deuxième montée assez difficile et exigeante. Par moments raides avec des passages très très raides et un dernier raidard pour rejoindre la route des Mayens. Notre groupe a une forme olympique et surmonte ses raidards sans broncher.
Nous attaquons notre première descente par un joli petit single avec des virages relevés et deux ou trois petits franchissements.
Depuis le fond de la descente, nous avons un problème d’itinéraire avec des panneaux contradictoires. Un panneau officiel qui nous montre une direction avec 10m plus loin un panneau interdiction au vélo. Nous décidons de prendre le chemin de gauche qui part à flanc de coteau. Ce chemin est plat au début et devient super raide avec des bosses qui ressemble étrangement à une piste de descente. T’an pis, nous continuons jusqu’au sommet. Nous passons par Daillon et son vignoble avant de monter en direction du bisse de la Tsandra. Nous remontons le bisse sur 7 km, c’est complètement improbable, un sentier presque plat dans ces montagnes abruptes. Nous arrivons sur la route du col du Sanetsch. Le sommet de notre itinéraire est proche. Encore 300 mètres de dénivelé. Nous revenons en direction de Mayentset par le coteau. Les jambes commencent à fatiguer et le ventre gargouille. La place de pique-nique se trouve dans la dernière descente. Cette descente est variée, route goudron, gravier, et single type piste de BMX. Elle a fait l’unanimité des participants. Nous arrivons à la place de pique-nique style grand luxe, table, barbecue, fontaine. Après le repas, il nous reste une dizaine de minutes pour rejoindre notre voiture. Nous avons fait un peu plus de 3h, mais pas d’amende sur notre pare-brise. Youyou !!!
Nous prenons un dernier verre sur une terrasse du village.
Merci aux participants pour leur bonne humeur et motivation à toute épreuve.
Cordialement
Fabien
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Dimanche 12 septembre: Lac de Soi.
Seul Claude répond présent pour la sortie du jour au lac de Soi. Nous partons de la route des rives, du côté de Plan Soi et montons en direction du Signal de Soi. Le chemin passe de la forêt à la prairie et est agréable malgré que l’on coupe régulièrement la route carrossable qui permet de monter quasiment sous le Signal de Soi. Nous arrivons sans encombre au lac, superbe avec le reflet des montagnes et des nuages. Nous admirons aussi les différentes constructions en pierre (fontaines, arches, petits ponts, amphithéâtre, rosaces…) qui contribuent à l’esthétisme du lieu. Le fond de l’air étant plutôt frais, nous redescendons assez rapidement en faisant une boucle par le point 1980m sous l’arête de Selaire. Nous profitons des framboises et trouvons même un beau bolet (mais un seul… ). Finalement, nous prenons le verre de l’amitié à la cantine des rives pour clôturer cette belle journée.
Bastien
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Dimanche 5 septembre: Journée familiale au Chalet d'Amont
Cette année, la journée familiale a commencé déjà le samedi. Gérard, Nicole, Sylvie et Adrien sont montés la veille afin de préparer la journée familiale. Le chalet a été aéré, chauffé, le bois coupé, les toilettes testées. Nous avons terminé la soirée devant une fondue et avons préparé le programme pour le lendemain.
Après une grasse matinée qui nous a vus nous lever vers 8h00, un copieux déjeuner et la journée commence. Adrien et Sylvie sont partis jusqu'au lac de la gouille, Gérard avait une vieille histoire à régler avec la faux à moteur et Nicole s'est attelée aux préparatifs du diner.
Vers 11h30 Frédéric est arrivé en nous disant que Gérard Maret, son épouse Xian et leur fils (bientôt 5 ans) allaient suivre.
Ensuite, comme d'habitude, apéro, grillades, fromages, desserts et cafés. L'après-midi, Frédéric et Gérard Maret n'ont pu s'empêcher d'aller faire les échelles.
Et comme toutes bonnes choses ont une fin, on range le chalet et vers 16h30 départ pour retrouver les voitures.
Belle journée, beau temps, belle ambiance. Encore merci aux participants pour cette magnifique journée.
Gérard
Les photos sont ICI.
Samedi 21 août: Via Ferrata Baltschiedertal – Wiwannihütte.
Sébastien et Francis me retrouvent à St-Triphon gare pour un départ matinal pour un chimiste, à savoir à 7h30 – en tout cas pour le narrateur. Nous partons pour le haut-Valais, sur les hauteurs de Ausserberg, village pittoresque où il ne faut pas manquer de payer le parking et l’accès aux routes en-dessus du village. Et surtout pour une sortie du club alpin du site chimique, qui dispose d’une très belle vue sur le site de la Lonza en contrebas …
Nous partons à 9h, passant par le tunnel du bisse pour gagner la vallée de Baltschierder et sa cabane à plus de 5h de marche, mais nous n’irons pas jusque là. 1500m de tunnel, la frontale est obligatoire, la température fraiche mais ça va.
En débouchant nous voyons encore des restes d’avalanches de l’hiver passé avec des ponts de neige sur la rivière. Nous marchons environ 2km sur le sentier de la vallée avant la bifurcation blanc-bleu-blanc qui nous mène au pied de la via ferrata. Si le chemin jusque là était presque plat, nous prenons vite de la hauteur.
Le haut du chemin est ludique avec un petit passage dans une grotte à l’ombre, ce qui fait du bien car le soleil est bien présent.
Arrivé au pied de la via à 10h30, nous nous équipons et partons 10 minutes plus tard. Le premier tronçon dure 1 bonne heure, avec des dalles, des traversées, des redescentes, des remontées, un ou 2 petit passage à bras, et pas trop de broches, ce qui nous permet d’utiliser le rocher aussi.
Suit un passage herbeux où nous faisons une pause pour nous alimenter un peu. On repart dans l’herbe, puis arrive un 2e passage plutôt en traversée, à gauche, puis en haut, puis à droite, un bout d’arrête où il faut redescendre, puis remonter, et enfin nous arrivons à la gamelle du souvenir, il est 12h35. Après un peu d’écriture, nous reprenons la route pour essentiellement des passages herbeux entrecoupés de barrières rocheuses. Nous arrivons enfin en haut et poursuivons vers la Wiwannihütte que nous rejoignons vers 13h15.
Le repas fait le plus grand bien, nous profitons d’une bonne bière locale et de la soupe de la cabane pour accompagner notre repas.
Nous faisons une bonne pause là haut, observons les cordées et les chèvres bicolores sur le Wiwannihorn, faisons un exercice de prononciation locale à l’initiative de Sébastien avec le sommet voisin « Gross-Öugstchummuhorn » et consultons le topo des voies de la cabane.
Ce qui fait que nous repartons une heure plus tard pour le retour. Le sentier suit une large crête avec une vue bien dégagée sur les 4000m de l’autre côté du Rhône, ainsi que la vallée jusqu’à Sion (ou presque).
Puis nous quittons le sentier principal pour plonger en direction de Raaft. Ce sentier n’est pas toujours bien marqué, mais nous permet de rentrer plus directement sur la voiture. Raaft est un joli hameau, avec une petite chapelle, et nous avons la chance de faire une petite pause avec une bonne bière offerte et partagée avec 3 charmantes Soleuroises, après un dépannage par Francis de leur débrousailleuse.
Après le retour à la voiture à 16h20, nous profitons encore d’un bon verre partagé à l’Hotel Bahnhof !
Un grand merci à Sébastien et Francis pour leur participation, leur bonne humeur et leurs connaissances techniques des débrousailleuses qui nous ont permis de passer une très belle journée ensemble.
D’être monté à cette Wiwannihütte donne envie d’y repasser pour un week-end et quelques jours d’escalade !
Frédéric
Les photos viendront plus tard.
Dimanche 8 août: Arpelistock et Sublage.
Trois volontaires pour cette sortie du mois d’Août avec Christophe, Frédéric et Nicole. Malgré la pluie de la nuit (et des semaines précédentes…) et le temps frais, le soleil est annoncé et nous maintenons donc l’objectif de l’Arpelistock. Par contre nous ne ferons pas la boucle prévue par le col du Brochet et nous nous contenterons de la montée par l’itinéraire normal. En compensation, nous ajouterons le sommet voisin du Sublage !
Départ du col du Sanetsch et montée par la magnifique arête de l’Arpille, un peu mou, un peu frais mais ça passe bien. La vue est superbe sur les alentours, inhabituellement verts cette année, et la flore est encore bien présente en ce mois d’Août. Puis nous quittons l’arête pour grimper l’Arpelistock par une sente raide et plutôt directe. Au sommet, la vue à 360°C s’ouvre avec le Wildhorn, le Grand Combin, le Mont Blanc… Mais la pause sera de courte durée, le vent et le froid nous obligent à redescendre rapidement. Au retour sur l’arête, nous bifurquons à l’est direction Grand gouilles et col des Audannes pour aller chercher le Sublage. Pause pique-nique au soleil et à l’abri du vent bien méritée, puis nous quittons le chemin au point 2602m pour grimper le Sublage. Très joli sur les lapiaz, pas de chemin officiel mais c’est facile. Depuis le sommet, on a une vue plongeante sur la route du col et l’hotel Sanetsch. Le vent a bien faibli et la pause est agréable. Il faut maintenant revenir sur nos pas, remonter sur l’arête de l’Arpille et faire le chemin en sens inverse jusqu’à la voiture. Les couleurs sont différentes dans l’après-midi et nous bénéficions cette fois de la vue sur les Diablerets et le glacier de Tsanfleuron. Des VTT nous ont précédés sur l’arête, les sensations doivent être au rdv…
Merci aux participants pour cette très belle journée.
Bastien
Voilà les photos.
Dimanche 13 juin: Col de Pierra Perchia.
Nous sommes cinq au départ de cette randonnée avec la participation de Bruno, Sylvie, Frédéric et Claude. Nous nous parquons au col de Jaman et montons directement à la pointe du même nom pour bien s’échauffer. Il y’a encore un névé sur la face Nord, la neige a du mal à fondre cette année… Le panorama au somment est splendide sous le ciel bleu azur. Puis nous continuons jusqu’au col de Bonaudon en traversant encore quelques névés. Peu après, nous bifurquons pour suivre une sente qui n’apparait plus sur Swisstopo mais existe sur les vielles cartes. Sylvie a l’œil et nous ouvre la route, qui nous permet de descendre par un itinéraire non fréquenté et varié à travers prairies et forêt. Nous rejoignons finalement la route à Jeep au point 1240, c’est le point bas du jour, 300m sous la voiture, bizarre cette randonnée… Nous poursuivons avec un arrêt à la Combe d’Allières pour acheter quelques tommes qui agrémentent le pique-nique. Le redémarrage après la pause est un peu rude, et il reste encore 400m à monter. Heureusement, nous passons sous les nuages et avec la neige résiduelle, il fait plutôt frais. Arrivés au col de Pierra Perchia nous retrouvons la vue sur le Léman et un peu plus de monde. La descente est directe jusqu’à col de Jaman, avec la vue plongeante en continu. La sortie se termine par la traditionnelle verrée à la buvette d’alpage du col ou la foule nous attend. Il faut presque faire la queue pour trouver une place… Merci aux participants pour cette randonnée au profil atypique.
Bastien
Les photos sont là
Samedi 22 mai: Sortie Pic Boré remplacée par une sortie au Grand bisse de Lens.
Vu la situation sanitaire, il est délicat de franchir la frontière. De plus, au vu de la météo de ce printemps, le parcours envisagé n’est pas encore praticable.
Donc nous nous retrouvons à 7 pour une randonnée alternative: Bruno, Sylvie, Claude, Nicole, Rémy, Bastien, et Frédéric. Départ tranquille à 8h30 pour monter à l’école de Chermignon- d’en-Bas où nous laissons la voiture pour démarrer notre randonnée vers 9h30. De l’école, nous descendons pour rejoindre la fin du Grand Bisse de Lens, que nous suivons à la montée. Comme c’est un bisse, c’est presque plat, le sentier est ombragé et avec l’eau à nos côtés c’est très joli. Nous croisons plusieurs petites cascades ou torrents, puis arrivons à une ancienne roue à marteau qui servait à avertir de l’arrivée ou non de l’eau dans le bisse.
Après l’ombre, nous passons au soleil dans la dernière partie plein Sud, au pied du Christ-Roi de Lens. Et près de la lettre N de l’office du tourisme de Crans-Montana. Nous ne montons pas l’arête pour arriver près de la statue, mais continuons du côté ouest à présent, une partie plus impressionnante mais avec un chemin très bien aménagé en bois, parfois aussi avec une main courante. Nous surplombons La Lienne et apercevons de l’autre côté le début du bisse de Clavau. Par contre il n’y a plus d’eau dans le bisse. Nous continuons, passons à travers le village d’Icôgne où nous perdons par moment le bisse, pour le retrouver à la sortie du village. Nous poursuivons jusqu’au point 1072, d’où il est possible de remonter vers le bisse du Rhô. La suite du sentier est d’ailleurs fermée. Nous remontons comme prévu sur les Vernasses, et passant devant le couvert de la commune, nous en profitons pour y faire une bonne pause pique-nique.
Nous poursuivons ensuite en direction de Crans, puis longeons encore le bisse qui mène à l’étang des Miriouges avant de redescendre sur Chermignon, puis Chermignon-d’en-Bas où nous arrivons vers 15h. Faute de café ouvert sur Chermignon, nous montons boire le verre de l’amitié à Lens avant de rentrer sur le Chablais.
Au final une promenade sans trop de dénivelé qui a bien convenu aux participants. Un grand merci à tous pour cette belle journée partagée !
Frédéric
Les photos vont suivre prochainement.
Dimanche 28 mars: ski rando à Plan Névé sur Bex (Tour du Sex Percé)
La difficulté annoncée pour cette sortie était « difficile ». C’est vrai que c’était un peu difficile de sortir du lit à cause du passage à l’heure d’été. Par contre c’était facile de partir depuis les Plans sur Bex avec les skis aux pieds. C’était un peu moins facile de monter au Richard par le chemin d’été sans y perdre un ski. C’était difficile de se séparer d’un des participants pour le laisser aller chercher son précieux ski au fond de la gorge, dans la rivière, tout là en-bas ! (bon je crois que d’après les statuts on a droit à 20% de perte humaine lors d’une sortie, donc on est bon…) C’était facile de monter jusqu’à la cabane avec la bonne accroche de la neige. C’était facile de monter au pied du Pacheu mais plus difficile de prendre la décision de renoncer au couloir à cause de la quantité de neige soufflée. Très facile de faire la petite descente dans de la bonne poudre. Facile de remonter au col du Sex Percé. Mais là c’était vachement difficile à trouver le goulet vu qu’il n’y avait pas assez de neige pour les remplir. Plus facile à dire qu’à faire d’enlever les skis, mettre les crampons, prendre le piolet, descendre un peu en DryTooling en arrière dans la pente, installer une corde d’assurage et sauter pour rejoindre la neige. Mais après très facile de skier la combe des Outans dans de la magnifique poudre. Facile aussi de partir à gauche pour prendre la rampe tout juste assez enneigée et rejoindre directement Pont de Nant. Facile de retrouver Patrick rentré bredouille de sa chasse au ski (il est pas prêt de trouver les œufs à Pâques lui…).
Merci à Bruno, Fred et Seb pour la bonne ambiance et leur motivation.
Georges
Les photos et la vidéo sont là.
Jeudi 25 février: raquettes et ski rando nocturne avec apéro à Valerette
Pour une fois, le groupe raquettes (Alice, Bastien, José-Manuel, Julien, Rémy) est plus important que celui en skis (Frédéric, Gérard, Bruno). Nous nous répartissons les vivres et partons sous un ciel bleu. La lune est déjà levée. Le départ a peu de neige mais elle est dure et non pas mouillée. Nous suivons tous ensemble, à distance Covid, l'itinéraire classique de ski rando. La nuit tombe au fur et à mesure en passant par de belles couleurs. Après quelques soucis de raquettes, nous arrivons au pain de sucre.
Il n'y a pas de vent et il ne fait pas trop froid. C'est idéal pour notre apéritif dînatoire. Nous restons presque une heure et demie au sommet. Finalement, nous avons presque terminé nos nombreuses victuailles! Mais il faut redescendre, les 2 groupes séparément. Le ciel est découvert et la lune est là. La neige est béton tout le long et la première partie nous secoue pas mal! Ensuite, la piste est plus lisse.
C'était une super soirée dans une super ambiance!
Merci aux participants. Bruno.
Dimanche 14 février: ski rando au Witteberghore, anciennement Wittenberghorn
Le jour de la St Valentin, départ de Monthey pour Christiane, Laetitia, Frédéric, Patrick et Bruno. Nous rejoignons Francis à Grund avant Gstaad. Il fait -15 au départ.
Nous démarrons dans les prés (enneigés!) du bas puis par le chemin pédestre, plus ou moins ardu, afin de rejoindre la route du vallon de Meielsgrund. Ce vallon est à l'ombre, très long, très plat et très froid. Heureusement, c'est beau et il n'y a pas de vent.
Nous attaquons enfin la montée sérieuse, depuis Unders Meieli, dans une grosse coulée d'avalanche, habituelle à cet endroit, avec plein de blocs et du bois. La pente se fait plus raide et difficile et chacun poursuit selon sa préférence, à skis ou à pieds, sans suivre ceux qui nous précèdent car ils se trompent d'itinéraire. Le début du chemin à la suite n'est pas plus facile, mais nous pouvons tous remettre les skis.
Ca devient plus facile au fur et à mesure puis nous débouchons sous Obere Meiel. La vue est superbe en direction du sommet et nous faisons une pause bienvenue au soleil. Il y a alors de la place et chaque groupe fait sa trace en évitant les creux. Nous rejoignons l'arête Est et nous arrêtons en dessous du sommet car ça devient trop exposé.
Après le pique-nique au soleil, nous descendons dans une poudreuse et un paysage de rêve jusqu'à la forêt. Ensuite, c'est le chemin, pas si difficile dans ce sens, puis une belle partie de "boulettes" sur tout le versant d'Unders Meieli. Il faut encore remonter un peu et pousser tout le plat avant de descendre la route puis les derniers prés pour arriver à la voiture.
Le magnifique secteur du haut compense vraiment la longueur et la difficulté du bas. Tout le monde est satisfait de sa sortie. Encore pas de verrée cette fois!
Merci aux participants.
Bruno
La vidéo est là et les photos ici.
Date de dernière mise à jour : 18/01/2022